« On en parle souvent de la pénurie de logements au Québec, qui touche surtout les ménages à faibles revenus. C’est encore pire pour les personnes vivant avec une déficience intellectuelle, qui représentent près de 2% de la population. Il manque cruellement de logements adaptés, et la pénurie risque de s’aggraver, surtout avec les parents vieillissants et inquiets de l’avenir de leur enfant adulte.Et le manque de ressources est encore plus criant en région, comme l’a constaté Jean-Sébastien Cloutier. »
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